La presse écrite comme le commerce de détail sont confrontés à des lecteurs ou clients mutants. Plusieurs études récentes montrent que le contact physique, via le magasin ou le papier, restent indispensables dans les nouveaux parcours d’achat comme dans les nouveaux parcours de lecture.
Me tromperais-je depuis des lustres ? Ou ces rédacteurs et leurs correcteurs automatiques ont-ils souffert d’une passagère défaillance ?